Le sport et l’amour sont faits pour s’entendre. Les mêmes hormones agissent d’ailleurs au lit et baskets aux pieds. À l’occasion de la Saint Valentin, Dr Sport vous dit tout !
Un soupçon d’ocytocine
C’est l’hormone de l’attachement et de la tendresse. Vous en sécrétez quand vous faites du sport, mais aussi quand vous vous sentez bien dans votre couple. Attention, l’ocytocine favorise la jalousie. Heureusement, elle aurait tendance à rendre les hommes et les femmes plus fidèles !
Une dose de sérotonine
Qui dit sérotonine dit joie, bonne humeur, plénitude, satisfaction… Cette hormone est associée à une vie saine : alimentation riche et variée et activité physique. Le meilleur des antidépresseurs !
Une pincée d’endorphines
Sécrétée lors d’un effort physique, l’endorphine est encore là au moment de l’orgasme. Cet antistress naturel à consommer sans modération agit aussi comme un antidouleur et stimule la sensation de plaisir et d’euphorie.
Un nuage de dopamine
Hormone de la motivation, de la dépendance et de la récompense, la dopamine nous apporte du tonus, un sentiment de satisfaction et cette fameuse sensation de bien-être.
Un trait de phényléthylamine (PEA)
Elle est le point commun entre le sport, l’amour et… le chocolat. Le coup de foudre – et le sentiment de plénitude qu’il procure – est ainsi dû à une forte production de PEA. Cette hormone provoque des sensations d’extase. La passion serait le résultat d’une saturation du cerveau, submergé par un déluge de phényléthylamine !
La chimie de l’amour et celle du sport ont donc bien des points communs ! Les effets de ce cocktail hormonal détonnant s’additionnent-ils en cas de pratique sportive en amoureux ? Une expérience à tenter le 14 février !
Le chiffre DrSport
50 calories. Attention aux idées reçues : un rapport sexuel ne permettrait pas de brûler plus de 50 calories, soit l’équivalent… de 10 minutes de marche rapide ! Mais avoir un orgasme pourrait atténuer les douleurs musculaires. Et il n’est pas contre-indiqué de faire un câlin avant une compétition. Alors, pourquoi s’en priver ?
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