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Tendinite (tendinopathie) du psoas

Qu’est-ce qu’une tendinite du psoas?
C’est une inflammation d’un ou de plusieurs tendons (qui relient les muscles aux articulations osseuses et transmettent aux os la force produite par les muscles afin de produire le mouvement des articulations) suite à des mouvements répétés.
Les troubles tendineux sont des troubles qui provoquent un mauvais fonctionnement de deux types de tendons:
1)Les tendons sans gaine synoviale, on parle alors de tendinite.
2)Les tendons avec une gaine synoviale, on parle alors de ténosynovite.
La structure d’un tendon ressemble à celle d’une corde formée de fibres lisses et résistantes.
Les mouvements répétitifs ou prolongés, les efforts soutenus, une mauvaise posture ou le maintien prolongé d’une même position, les vibrations ou un stress mécanique localisé peuvent tous provoquer une déchirure des tendons, à la manière d’une corde qui s’effiloche.
Ces changements déclenchent une réaction inflammatoire localisée du tissu.
Avec le temps, les tendons enflammés s’épaississent, deviennent bosselés et prennent une forme irrégulière.
Le muscle psoas-iliaque (ou muscle Ilio-psoas) est un groupe musculaire central du corps humain situé dans la région postérieure de l’abdomen.
Il rattache la cuisse au tronc reliant ainsi le haut et le bas du corps.
Très puissant, ils a comme fonction primordiale, avec le sartorius et le tenseur du fascia lata, la flexion de la hanche (flexion de la cuisse sur le bassin) et il recouvre en dedans le carré des lombes.
- Le psoas s’attache en avant de la colonne vertébrale lombaire, en profondeur.
Il est traversé par le nerf sciatique, connecté au diaphragme (principal muscle respiratoire) lui-même en étroite relation avec le rein, l’estomac, le foie et le cœur. - Le grand psoas (psoas major) est rattaché aux vertèbres lombaires et à la première vertèbre dorsale pour sa partie haute et à l’os du fémur (petit trochanter) pour sa partie basse.
Il permet la flexion de la cuisse. - Le petit psoas (psoas minor) est rattaché à peu près de la même façon que le grand psoas et complète son action. Il se trouve à l’avant de ce dernier.
Ce muscle à la particularité de n’être présent que chez 60% des personnes.
Le psoas se termine dans un tendon conjoint avec l’iliaque sous la hanche à l’intérieur et en haut de la cuisse.
Le psoas-iliaque est en étroite relation avec l’intestin et la zone pelvienne et une contracture de ces muscles peut entraîner des douleurs extrêmement variées à plusieurs endroits.
Sa contraction permet le rapprochement entre la cuisse et le bassin et par conséquent la flexion de l’articulation de la hanche.
Au contraire, un éloignement de la cuisse et du bassin va provoquer l’extension de ce muscle et l’ouverture de l’articulation de la hanche.
La tendinopathie du psoas est une inflammation de ce tendon au niveau de la hanche.
Comment apparaît une tendinite du psoas?
Le psoas-iliaque, peu connu du grand public et même des sportifs, est déterminant car il permet des mouvements indispensables comme la marche ou la course à pied tout en préservant les lombaires.
Ce muscle fait partie de l’arrière de la ceinture abdominale et est stimulé par des exercices de musculation dynamique des muscles abdominaux obliques et des grands droits.
Les (mauvaises) postures que nous adoptons au quotidien comme les postures assises prolongées et/ou une hyper-sollicitation de ce muscle lors d’activités physiques et sportives nécessitant des flexions de la hanche (vélo, course à pied, tir au football…) et le maintien en équilibre du corps en position debout génèrent un raidissement et un raccourcissement de ce muscle.
Ce raccourcissement entraîne:
- Des tendinites: les tendons servant à rattacher les os et les muscles subissent des inflammations à cause des tensions importantes qu’ils subissent.
- Des douleurs à l’aine (douleurs inguinales), aux hanches, aux régions pelviennes et intestinales.
- Des douleurs et des cambrures dans le bas du dos, notamment à l’origine des lumbagos, contractures et des irritations des tissus musculaires du bas du dos.
- Un manque de souplesse: sur certains mouvement de hanches, la colonne vertébrale subit des torsions, flexions et rotations pour compenser le manque de souplesse.
- Des blessures aux genoux.
- Des hernies discales dans les cas les plus graves.
Elle touche le plus souvent les patients après 50 ans souvent porteurs d’une prothèse de hanche.
L’origine est variée, inflammation intestinale est une cause fréquente mais pas seulement. Pour éviter ces différents maux il est extrêmement important de réaliser régulièrement des exercices d’étirement de ces muscles trop souvent négligés.
Quels sont les symptômes?
- Une douleur dans la région lombo-sacrée en position assise ou debout et une douleur dans la région glutéale très handicapante dans la vie quotidienne.
Elle survient à la flexion et est souvent exacerbée par la toux ou les éternuements.
Les patients sont obligés de s’aider des mains pour plier la hanche lors de la montée d’escaliers ou pour monter en voiture par exemple. - Une douleur vive au pli de l’aine lors de la flexion active de la hanche, c’est-à-dire lorsque le patient fléchit lui même sa hanche.
Cette douleur n’est pas retrouvée lorsque c’est le médecin qui plie la hanche.
La douleur est (selon l’Association Internationale pour l’Étude de la Douleur) “une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite dans ces termes”.
Il existe deux types de douleur:
-Aiguë (une main posée sur une plaque de cuisson, une coupure), c’est une douleur de courte durée.
-Chronique (migraine, fibromyalgie, arthrose, lombalgie, musculo-squelettiques ou neuropathiques), c’est une douleur qui se répète et dure sur une période de plus de trois mois.
En médecine c’est une sensation subjective liée à un message de douleur, un stimulus transmis par le système nerveux.
Elle correspond à un signal d’alarme et d’action envoyé par l’organisme et incite à résoudre le problème qui la provoque avant qu’il ne provoque trop de dégâts.
La douleur résulte d’une anomalie qui peut prendre la forme d’un geste mal effectué, d’une mauvaise posture, d’une zone du corps trop faible, d’un déséquilibre musculaire, d’une trop forte sollicitation…
La conséquence d’une douleur occultée est, à terme, la dégénérescence de la zone ou du tissu concerné (tendons, disque intervertébral, ménisque…) pouvant conduire à une blessure, l’arrêt du sport ou l’impotence fonctionnelle.
Une blessure peut avoir des conséquences sérieuses et significatives sur plusieurs aspects non négligeables de la vie: le moral, les loisirs, le budget, la vie professionnelle, familiale, sociale.
La lutte contre les blessures relève donc autant de la pratique sportive que du bien-être général.
Pendant un entraînement sportif, on peut distinguer :
-Les bonnes douleurs qui correspondent aux sensations de souffrance physique faisant partie intégrante d’une activité sportive.
Elles sont dues, la plupart du temps, à un épuisement musculaire ou à une forte concentration en acide lactique au sein d’un muscle, suite à une sollicitation ciblée et intense et peuvent être localisées ou diffuses.
Les bonnes douleurs sont la résultante logique, normale et même recherchée d’un exercice sportif même s’il n’entraîne pas de dommages.
Toutefois l’activité musculaire intense créant des micro-lésions au sein des tissus musculaires, peut générer des dommages tissulaires.
-Les mauvaises douleurs correspondent aux sensations négatives dues à des dommages tissulaires qui ne devraient théoriquement pas être présents.
Il est primordial de savoir dissocier les bonnes des mauvaises douleurs.
La douleur est méconnue, c’est un signal que le corps utilise pour communiquer avec le cerveau et constitue un aspect important de notre survie.
C’est un processus qui n’existe réellement qu’au niveau cérébral et englobe de multiples facteurs sous forme de signaux, fournis par de nombreux systèmes de notre organisme interconnectés les un aux autres et ayant par conséquent tous une influence sur la douleur, que ce soit dans sa création ou au sa disparition.
La réponse naturelle du corps à la douleur est connue sous le nom de réponse startle ou réflexe de flexion qui ramène instinctivement le corps en position fœtale (position de sécurité) lors d’une situation physiquement ou émotionnellement douloureuse.
La douleur favorise donc très rapidement (en quelques heures ou quelques jours) la création de schémas moteurs compensatoires, tandis que toute reprogrammation motrice et musculaire peut prendre des semaines voire des mois.
Tout le monde a eu ou aura un jour une douleur, quelque soit son origine.
Si une douleur aiguë est clairement identifiée, il est difficile de décrire une douleur chronique (mal de dos, tendinite…) qui peut être “diffuse”, “sourde” ou “vive” selon les mouvements ou les heures de la journée.
La règle de la non douleur permet quelque soit la condition physique de:
-Continuer à s’entraîner.
-Mobiliser son corps.
-Se prendre en charge.
-Maintenir sa condition physique à un niveau minimal afin de ne pas tomber dans le cercle vicieux : douleur, arrêt de l’activité sportive, perte de la condition physique, reprise du sport, douleurs de reprise, compensation, nouvelle blessure.
même après l’apparition d’une douleur, mais en modifiant ou en changeant l’exercice pour qu’il ne la produise plus.
Le mouvement entretient les filières de réparation du corps et limite les processus inflammatoires chroniques.
Vous pouvez tout faire à condition que cela ne fasse pas mal au niveau d’une articulation et en recherchant une bonne posture.
Vous devez:
-Ne pas accepter la douleur.
-Stopper ou modifier immédiatement l’exercice ou le mouvement de manière à éradiquer une sensation douloureuse apparaissant au cours d’un mouvement ou d’un exercice sportif.
-Changer de position ou de prise.
-Réduire la charge, la vitesse, l’intensité sans pour autant stopper la séance.
-Limiter l’amplitude du mouvement, choisir un autre mouvement ou une autre activité, si une activité est douloureuse (course à pied, mouvements sportifs particuliers…)
Vous pouvez faire du VTT, de la musculation à la place de la course à pied.
Si un mouvement en musculation est douloureux (développé couché, squat…): utiliser un autre mouvement pour faire travailler la zone ou la chaîne musculaire de façon différente.
En dernier lieu, si aucune modification technique, gestuelle ou matérielle ne permet de faire disparaître la douleur, à ce moment-là, l’arrêt de la séance est obligatoire, sous peine de non-respect de la règle.
Travailler et forcer sur une douleur augmente fortement le risque de séquelle.
Nous vous conseillons de consulter les Professionnels de santé suivants :

Les examens suivants seront à prescrire en cas de douleur persistante :
Scanner.
Radiographie.

Ruta Graveolens 9CH
Détails:
Remède homéopathique obtenu à partir d´une plante méditerranéenne utilisé en traumatologie, en rhumatologie et en ophtalmologie.
ll soulage:
-les douleurs au niveau des articulations
-les tendinites
-les périarthrites
-les lombalgies
-les pubalgies.
-les entorses
-les douleurs survenant suite à la réduction d´une luxation
-la tendinite du tendon d´Achille
-les douleurs lors d´une chute sur le coccyx ou le sacrum.
-les contusions chez les sportifs qui effectuent des gestes répétitifs.
Laisser fondre sous la langue en dehors des repas, du tabac, du café ou encore de la menthe.
Posologie:
9 CH.
Fréquence:
1 fois/jour.

Ruta Graveolens 9CH
Détails:
Remède homéopathique obtenu à partir d´une plante méditerranéenne utilisé en traumatologie, en rhumatologie et en ophtalmologie.
ll soulage:
-les douleurs au niveau des articulations
-les tendinites
-les périarthrites
-les lombalgies
-les pubalgies.
-les entorses
-les douleurs survenant suite à la réduction d´une luxation
-la tendinite du tendon d´Achille
-les douleurs lors d´une chute sur le coccyx ou le sacrum.
-les contusions chez les sportifs qui effectuent des gestes répétitifs.
Laisser fondre sous la langue en dehors des repas, du tabac, du café ou encore de la menthe.
Posologie:
9 CH.
Fréquence:
1 fois/jour.

Anti-Inflammatoire Emplâtre
Détails:
Traitement des douleurs post-traumatiques (entorses bénignes, contusions)
Posologie: 1 emplâtre par jour pendant 3 jours.
-En l’absence d’amélioration au bout de 3 jours, consultez votre médecin.
Traitement des poussées douloureuses de l’arthrose du genou (après un premier avis médical).
Posologie: 1 emplâtre Matin et Soir, 7 jours.
Ne plus appliquer l’ emplâtre si la douleur a disparu : l’ utilisation doit être la plus courte possible.
Ne pas reprendre une activité sportive avant la disparition complète de la douleur.
A utiliser en l’absence de toute contre-indications ou allergie à un des constituants.

Anti-Inflammatoire Emplâtre
Détails:
Traitement des douleurs post-traumatiques (entorses bénignes, contusions)
Posologie: 1 emplâtre par jour pendant 3 jours.
-En l’absence d’amélioration au bout de 3 jours, consultez votre médecin.
Traitement des poussées douloureuses de l’arthrose du genou (après un premier avis médical).
Posologie: 1 emplâtre Matin et Soir, 7 jours.
Ne plus appliquer l’ emplâtre si la douleur a disparu : l’ utilisation doit être la plus courte possible.
Ne pas reprendre une activité sportive avant la disparition complète de la douleur.
A utiliser en l’absence de toute contre-indications ou allergie à un des constituants.

Pack de froid instantané
Détails:
Pack de froid à usage instantané et unique avec effet antalgique par ralentissement de la conduction nerveuse.
Le froid évite la formation d’œdème et diminue l’importance de l’hématome.

Glace
Détails:
L’application de froid limite le gonflement et réduit l’inflammation et la douleur en baissant le flux sanguin dans la zone lésée.
La glace est un traitement simple mais essentiel qui réduit l’inflammation et la douleur en baissant le flux sanguin dans la zone lésée.
Appliquer la glace en vessie ou en glaçage direct sur la zone douloureuse à travers un linge humide.
Attention: ne pas mettre la glace directement sur la peau car le froid peut brûler celle-ci.
Fréquence:
3 fois/jour pendant 20 mn pendant 3 à 4 jours après la blessure.

Pack de froid instantané
Détails:
Pack de froid à usage instantané et unique avec effet antalgique par ralentissement de la conduction nerveuse.
Le froid évite la formation d’œdème et diminue l’importance de l’hématome.

Glace
Détails:
L’application de froid limite le gonflement et réduit l’inflammation et la douleur en baissant le flux sanguin dans la zone lésée.
La glace est un traitement simple mais essentiel qui réduit l’inflammation et la douleur en baissant le flux sanguin dans la zone lésée.
Appliquer la glace en vessie ou en glaçage direct sur la zone douloureuse à travers un linge humide.
Attention: ne pas mettre la glace directement sur la peau car le froid peut brûler celle-ci.
Fréquence:
3 fois/jour pendant 20 mn pendant 3 à 4 jours après la blessure.

Huiles Essentielles Eucalyptus Citronné + Gingembre + Calophylle
Détails:
Appliquer sur la peau le mélange d’huiles essentielles suivant:
Eucalyptus citronné 2 gouttes + Gingembre 2 gouttes à diluer dans 1 cuillère à café d’huile végétale de Calophylle.
A appliquer sur la zone douloureuse jusqu’à amélioration.
Fréquence:
2 fois/jour pendant 7 jours.
-L’ huile essentielle d’ Eucalyptus citronné, aux qualités apaisantes exceptionnelles, s’utilise dans les huiles de massage pour le confort articulaire ou les problèmes des sportifs.
-L’ huile essentielle de Gingembre, tonique général, diminue les douleurs articulaires diverses, ainsi que les douleurs musculaires.
-L’ huile végétale de Calophylle inophyle, riche en actifs apaisants puissants, est le support idéal pour préparer des huiles de massage “jambes légères”.
Tonifiant de la circulation sanguine, l’huile végétale de Calophylle est intéressante en accompagnement des produits de massage en cas de d‘inconforts articulaires et musculaires.
Si l’ huile végétale sert à diluer les huiles essentielles, qu’il ne faut pas appliquer pures sur la peau, son choix est important car c’est grâce à cette synergie que l’efficacité du mélange sera accrue.

Huiles Essentielles Eucalyptus Citronné + Gingembre + Calophylle
Détails:
Appliquer sur la peau le mélange d’huiles essentielles suivant:
Eucalyptus citronné 2 gouttes + Gingembre 2 gouttes à diluer dans 1 cuillère à café d’huile végétale de Calophylle.
A appliquer sur la zone douloureuse jusqu’à amélioration.
Fréquence:
2 fois/jour pendant 7 jours.
-L’ huile essentielle d’ Eucalyptus citronné, aux qualités apaisantes exceptionnelles, s’utilise dans les huiles de massage pour le confort articulaire ou les problèmes des sportifs.
-L’ huile essentielle de Gingembre, tonique général, diminue les douleurs articulaires diverses, ainsi que les douleurs musculaires.
-L’ huile végétale de Calophylle inophyle, riche en actifs apaisants puissants, est le support idéal pour préparer des huiles de massage “jambes légères”.
Tonifiant de la circulation sanguine, l’huile végétale de Calophylle est intéressante en accompagnement des produits de massage en cas de d‘inconforts articulaires et musculaires.
Si l’ huile végétale sert à diluer les huiles essentielles, qu’il ne faut pas appliquer pures sur la peau, son choix est important car c’est grâce à cette synergie que l’efficacité du mélange sera accrue.

Ultrasons et massages transverses profonds
Détails:
Bénéficier d’un traitement par ultrasons et massages transverses profonds chez le kinésithérapeute en cas d’échec des précédents remèdes.
Fréquence:
3 fois/semaine pendant 3 semaines.
Les ultrasons sont souvent utilisés par les kinésithérapeutes en complément des massages pour leurs effets mécaniques, thermiques, antidouleurs, décontractants et relaxants.
Ils soulagent de nombreux types de troubles musculaires, tendineux, ligamentaires et articulaires et réduisent l’inflammation et la douleur en cas d’arthrose, de polyarthrite, de séquelles d’entorse, d’élongation ou de courbatures.
Les ultrasons font vibrer le tissu sur lequel ils sont bombardés durant un laps de temps réduit (une trop longue durée expose à des brûlures). Cette friction est identique à celle d’un micro-massage.
La chaleur libérée ralentit, voire interrompt la conduction nerveuse, diminuant la douleur.
Le kinésithérapeute détermine la fréquence, le type d’émission (continue ou pulsée) et l’intensité des ultrasons en fonction du problème de santé et de l’objectif du traitement.
Le massage transverse profond (MTP) a pour objet de masser en profondeur les zones lésées ou douloureuses, en évitant de manipuler les zones saines.
Lors d’un traumatisme, une inflammation due aux lésions des tissus fibreux endommagés apparaît.
Elle s’auto-alimente et entraîne une douleur qui perdure dans le temps.
Les tissus cicatriciels fibreux, se formant autour de la zone lésée, limitent l’amplitude du mouvement et génèrent eux-mêmes une douleur supplémentaire.
Les fibres de collagène qui se forment par la suite prennent la direction imposée par la lésion, ce qui à long terme empêche de récupérer une mobilité normale.
Le massage transversal profond va manipuler les tissus tendineux et musculaires endommagés dans le but de limiter l’inflammation, et de rétablir l’élasticité et la mobilité normale des tissus.
Par des pressions et des mouvements de frictions profondes, il stimule l’ hyperhémie (congestion) locale en amenant un flux de sang accru au niveau de la zone lésée.
Il permet aux globules et aux autres éléments constitutifs du sang de lutter efficacement contre l’inflammation.
Il empêche également la constitution du tissu fibreux autour de la zone lésée (s’il est déjà constitué dans le cas d’une lésion ancienne, il va permettre de l’assouplir, et de restaurer partiellement, ou même totalement, l’amplitude du mouvement).
Le MTP allie les frictions et les pressions effectuées en profondeur (il est important de ne pas frictionner la peau), transversalement par rapport aux fibres musculaires lésées.
On exerce aussi des pressions statiques et profondes, ainsi que des frictions circulaires, qui activent le flux sanguin.
Le traitement dure alors à peu près 15 minutes, et est à renouveler 2 à 3 fois par semaine.

Ultrasons et massages transverses profonds
Détails:
Bénéficier d’un traitement par ultrasons et massages transverses profonds chez le kinésithérapeute en cas d’échec des précédents remèdes.
Fréquence:
3 fois/semaine pendant 3 semaines.
Les ultrasons sont souvent utilisés par les kinésithérapeutes en complément des massages pour leurs effets mécaniques, thermiques, antidouleurs, décontractants et relaxants.
Ils soulagent de nombreux types de troubles musculaires, tendineux, ligamentaires et articulaires et réduisent l’inflammation et la douleur en cas d’arthrose, de polyarthrite, de séquelles d’entorse, d’élongation ou de courbatures.
Les ultrasons font vibrer le tissu sur lequel ils sont bombardés durant un laps de temps réduit (une trop longue durée expose à des brûlures). Cette friction est identique à celle d’un micro-massage.
La chaleur libérée ralentit, voire interrompt la conduction nerveuse, diminuant la douleur.
Le kinésithérapeute détermine la fréquence, le type d’émission (continue ou pulsée) et l’intensité des ultrasons en fonction du problème de santé et de l’objectif du traitement.
Le massage transverse profond (MTP) a pour objet de masser en profondeur les zones lésées ou douloureuses, en évitant de manipuler les zones saines.
Lors d’un traumatisme, une inflammation due aux lésions des tissus fibreux endommagés apparaît.
Elle s’auto-alimente et entraîne une douleur qui perdure dans le temps.
Les tissus cicatriciels fibreux, se formant autour de la zone lésée, limitent l’amplitude du mouvement et génèrent eux-mêmes une douleur supplémentaire.
Les fibres de collagène qui se forment par la suite prennent la direction imposée par la lésion, ce qui à long terme empêche de récupérer une mobilité normale.
Le massage transversal profond va manipuler les tissus tendineux et musculaires endommagés dans le but de limiter l’inflammation, et de rétablir l’élasticité et la mobilité normale des tissus.
Par des pressions et des mouvements de frictions profondes, il stimule l’ hyperhémie (congestion) locale en amenant un flux de sang accru au niveau de la zone lésée.
Il permet aux globules et aux autres éléments constitutifs du sang de lutter efficacement contre l’inflammation.
Il empêche également la constitution du tissu fibreux autour de la zone lésée (s’il est déjà constitué dans le cas d’une lésion ancienne, il va permettre de l’assouplir, et de restaurer partiellement, ou même totalement, l’amplitude du mouvement).
Le MTP allie les frictions et les pressions effectuées en profondeur (il est important de ne pas frictionner la peau), transversalement par rapport aux fibres musculaires lésées.
On exerce aussi des pressions statiques et profondes, ainsi que des frictions circulaires, qui activent le flux sanguin.
Le traitement dure alors à peu près 15 minutes, et est à renouveler 2 à 3 fois par semaine.

Mésothérapie
Détails:
La mésothérapie est une technique médicale qui consiste à pratiquer des injections locales et très superficielles (intra-épidermiques, intra-dermiques ou hypodermiques) de faibles doses de médicaments à l’endroit où la douleur est ressentie.
L’injection peut être effectuée à la main ou à l’aide d’un injecteur électronique (pistolet de mésothérapie) par un médecin avec du matériel à usage unique et après désinfection de la peau.
Elle est indiquée en médecine du sport port pour traiter les affections traumatiques articulaires (entorses), les tendinites, les lésions musculaires (élongation, déchirures…), les affections de la colonne vertébrale (torticolis, lumbago, sciatique…).
Elle est contre indiquée en cas d’allergie à un des produits.
Son avantage réside dans le fait qu’elle peut être associée avec tous les autres traitements et surtout elle permet d’obtenir avec des dose infimes des concentrations importantes au niveau du site douloureux.
Contrairement aux infiltrations de cortisone elle n’est pas contre indiquée dans le diabète.
Ses seuls effets indésirables peuvent être constitués par les réactions locales à type de rougeur, hématomes ou traces d’injection persistantes.
Les produits utilisés sont des médicaments (anti-inflammatoires non stéroïdiens, décontracturants, vasodilatateurs… mais jamais de cortisone) ou des produits homéopathiques qui sont vendus en pharmacie et généralement sur ordonnance.

Mésothérapie
Détails:
La mésothérapie est une technique médicale qui consiste à pratiquer des injections locales et très superficielles (intra-épidermiques, intra-dermiques ou hypodermiques) de faibles doses de médicaments à l’endroit où la douleur est ressentie.
L’injection peut être effectuée à la main ou à l’aide d’un injecteur électronique (pistolet de mésothérapie) par un médecin avec du matériel à usage unique et après désinfection de la peau.
Elle est indiquée en médecine du sport port pour traiter les affections traumatiques articulaires (entorses), les tendinites, les lésions musculaires (élongation, déchirures…), les affections de la colonne vertébrale (torticolis, lumbago, sciatique…).
Elle est contre indiquée en cas d’allergie à un des produits.
Son avantage réside dans le fait qu’elle peut être associée avec tous les autres traitements et surtout elle permet d’obtenir avec des dose infimes des concentrations importantes au niveau du site douloureux.
Contrairement aux infiltrations de cortisone elle n’est pas contre indiquée dans le diabète.
Ses seuls effets indésirables peuvent être constitués par les réactions locales à type de rougeur, hématomes ou traces d’injection persistantes.
Les produits utilisés sont des médicaments (anti-inflammatoires non stéroïdiens, décontracturants, vasodilatateurs… mais jamais de cortisone) ou des produits homéopathiques qui sont vendus en pharmacie et généralement sur ordonnance.

Alpha-Amylase
Détails:
L’alpha-amylase est une enzyme digestive classée comme glycosidase (enzyme qui hydrolyse les polysaccharides) destinée à lutter contre l’œdème et l’inflammation.
Uniquement chez l’adulte ou l’enfant de plus de 50 kg.
Posologie: 3000 Unités.
Fréquence: 1 comprimé 3 fois/jour pendant 5 jours.
En l’absence de contre-indications ou allergie au produit ou à l’un de ses constituants.
Il existe un risque de réaction d’hypersensibilité notamment de réaction allergique.

Alpha-Amylase
Détails:
L’alpha-amylase est une enzyme digestive classée comme glycosidase (enzyme qui hydrolyse les polysaccharides) destinée à lutter contre l’œdème et l’inflammation.
Uniquement chez l’adulte ou l’enfant de plus de 50 kg.
Posologie: 3000 Unités.
Fréquence: 1 comprimé 3 fois/jour pendant 5 jours.
En l’absence de contre-indications ou allergie au produit ou à l’un de ses constituants.
Il existe un risque de réaction d’hypersensibilité notamment de réaction allergique.

Injections de PRP (Plasma Riche en Plaquettes).
Détails:
Les facteurs de cicatrisation plaquettaires traitent un certain nombre de lésions.
Objectif: anticiper ou accélérer la reprise de l’activité sportive mais aussi traiter des lésions résistantes aux autres traitements ou difficilement opérables quand les autres techniques sont dépassées.
Il s’agit souvent du dernier recours avant la chirurgie.

Infiltration locale de corticoïdes
Détails:
Les infiltrations de corticoïdes peuvent être proposées en deuxième intention pour soulager les problèmes articulaires, les tendinites…
Les corticoïdes sont de puissants anti-inflammatoires à base de cortisone à effet antalgique.
A réaliser par votre médecin du sport en cas d’échec des précédents remèdes, en l’absence de contre-indications et avec les précautions d’asepsie d’usage.

Infiltration locale de corticoïdes
Détails:
Les infiltrations de corticoïdes peuvent être proposées en deuxième intention pour soulager les problèmes articulaires, les tendinites…
Les corticoïdes sont de puissants anti-inflammatoires à base de cortisone à effet antalgique.
A réaliser par votre médecin du sport en cas d’échec des précédents remèdes, en l’absence de contre-indications et avec les précautions d’asepsie d’usage.

Ondes de choc
Détails:
Bénéficier d’un traitement par ondes de choc à réaliser par votre médecin du sport en cas d’échec des précédents remèdes.
La thérapie par ondes de choc ou SWT (ShockWave Therapy),est une thérapie qui a pour objectif de traiter les pathologies musculo-tendineuses de l’appareil locomoteur en percutant les sites lésés a travers la peau.
Introduite en médecine dans les années 80 pour traiter les lithiases urinaires et désintégrer les calculs sans provoquer d’effets secondaires elle s’est étendue au traitement des calcifications tendineuses puis des tendinopathies non calcifiées.
La thérapie par ondes de choc est une technique alternative qui présente de nombreux avantages :
C’est une thérapie:
-Non-invasive, ambulatoire et atraumatique.
-Sans anesthésie ni médication.
-Sans effets secondaires.
-Sans mise au repos strict et sans arrêt de l’entraînement (sauf compétition).
Le kinésithérapeute ou le médecin du sport utilisent une pièce à main, munie d’un embout pour appliquer des impulsions répétées sur la zone à traiter, à travers le tissu cutané.
De l’air comprimé est envoyé via une masselotte qui vient percuter l’applicateur au contact de la peau.
Ceci entraîne une forte pression puis des ondes de choc à l’endroit exact que l’on veut traiter .
L’impulsion s’articule souvent autour de 2000 coups avec une pression de 1,8 bar à 2,5 bar, qui varie selon la séance.
Il existe deux types d’ondes de choc.
-Les ondes focales permettent une action au niveau des cellules, avec une profondeur qui peut atteindre jusqu’à 20 cm
-Les ondes radiales permettent d’avoir une action vers les tissus au niveau superficiel, sur une profondeur de 50mm maximum.
Le traitement entraîne des actions mécaniques et métaboliques bénéfiques sur la douleur et la cicatrisation :
-Analgésiques : les chocs répétés provoquent la libération de substances antalgiques (endorphines) au niveau local.
-Défibrosantes des tissus, qui s’apparente à celle des massages tranverses profonds créant des micro-lésions qui vont induire un processus de cicatrisation.
-Vasculaires : les impulsions entraînent une hyper-vascularisation et une revascularisation favorisant la cicatrisation.
-Décalcifiantes.
Le traitement par ondes de choc génère très peu d’effets secondaires (irritations, ecchymoses, douleurs locales temporaires) et ne sont pas douloureuses. Il est contre indiqué en cas de pace-maker ou de plaies cutanées.
Fréquence:
1 séance/semaine pendant 6 semaines.

Ondes de choc
Détails:
Bénéficier d’un traitement par ondes de choc à réaliser par votre médecin du sport en cas d’échec des précédents remèdes.
La thérapie par ondes de choc ou SWT (ShockWave Therapy),est une thérapie qui a pour objectif de traiter les pathologies musculo-tendineuses de l’appareil locomoteur en percutant les sites lésés a travers la peau.
Introduite en médecine dans les années 80 pour traiter les lithiases urinaires et désintégrer les calculs sans provoquer d’effets secondaires elle s’est étendue au traitement des calcifications tendineuses puis des tendinopathies non calcifiées.
La thérapie par ondes de choc est une technique alternative qui présente de nombreux avantages :
C’est une thérapie:
-Non-invasive, ambulatoire et atraumatique.
-Sans anesthésie ni médication.
-Sans effets secondaires.
-Sans mise au repos strict et sans arrêt de l’entraînement (sauf compétition).
Le kinésithérapeute ou le médecin du sport utilisent une pièce à main, munie d’un embout pour appliquer des impulsions répétées sur la zone à traiter, à travers le tissu cutané.
De l’air comprimé est envoyé via une masselotte qui vient percuter l’applicateur au contact de la peau.
Ceci entraîne une forte pression puis des ondes de choc à l’endroit exact que l’on veut traiter .
L’impulsion s’articule souvent autour de 2000 coups avec une pression de 1,8 bar à 2,5 bar, qui varie selon la séance.
Il existe deux types d’ondes de choc.
-Les ondes focales permettent une action au niveau des cellules, avec une profondeur qui peut atteindre jusqu’à 20 cm
-Les ondes radiales permettent d’avoir une action vers les tissus au niveau superficiel, sur une profondeur de 50mm maximum.
Le traitement entraîne des actions mécaniques et métaboliques bénéfiques sur la douleur et la cicatrisation :
-Analgésiques : les chocs répétés provoquent la libération de substances antalgiques (endorphines) au niveau local.
-Défibrosantes des tissus, qui s’apparente à celle des massages tranverses profonds créant des micro-lésions qui vont induire un processus de cicatrisation.
-Vasculaires : les impulsions entraînent une hyper-vascularisation et une revascularisation favorisant la cicatrisation.
-Décalcifiantes.
Le traitement par ondes de choc génère très peu d’effets secondaires (irritations, ecchymoses, douleurs locales temporaires) et ne sont pas douloureuses. Il est contre indiqué en cas de pace-maker ou de plaies cutanées.
Fréquence:
1 séance/semaine pendant 6 semaines.

Injections de PRP (Plasma Riche en Plaquettes).
Détails:
Les facteurs de cicatrisation plaquettaires traitent un certain nombre de lésions.
Objectif: anticiper ou accélérer la reprise de l’activité sportive mais aussi traiter des lésions résistantes aux autres traitements ou difficilement opérables quand les autres techniques sont dépassées.
Il s’agit souvent du dernier recours avant la chirurgie.
Les questions les plus fréquentes
Quand faut-il opérer?
En cas d'échec du traitement médical la chirurgie est parfois nécessaire.
La ténotomie du psoas sous arthroscopie est un traitement chirurgical relativement simple et peu invasif qui permet de soulager les douleurs dans la majorité des cas (en cas d’échec du traitement médical bien conduit ou si les douleurs venaient à réapparaître après l’infiltration).
Si le patient est porteur d’une prothèse totale de hanche avec un débord important de celle-ci en avant qui viendrait frotter sur le tendon du psoas et donc l’irriter, il faudra se poser la question de changer la prothèse pour modifier son positionnement.
La libération du tendon du psoas sous arthroscopie, pour le détendre et donc supprimer définitivement les douleurs, constitue une solution moins invasive.
Comment éviter une tendinite du psoas?
La prévention des récidives oblige, en dehors du traitement médical et d’éventuelles séances de kinésithérapie, à envisager un changement des habitudes ou des gestes professionnels.
-S’hydrater avant, pendant et après les efforts sportifs (boire au moins 1,5 litre d'eau par jour).
-S’échauffer 10 minutes avant l’effort: l'échauffement fait partie intégrante de l'entraînement sportif pour ne pas s’exposer à des blessures.
-Adapter son effort à ses capacités sportives et à son âge.
-Être progressif dans son entraînement.
-Ne jamais forcer sur une douleur naissante.
-S’étirer avant et après l'effort sportif, durant 10 à 15 minutes.
-Ne pas s’étirer à froid et cesser l'étirement en cas de survenue d'une douleur.
-Glacer les muscles après un effort sportif pendant 10 minutes: le glaçage fait partie de la pratique sportive, même s'il n'y a pas de douleurs.
Quels sont les bons réflexes alimentaires pour soulager une tendinite?
En cas de tendinite, le repos est primordial, mais la modification des habitudes alimentaires permet de mieux récupérer.
Pour réduire l'inflammation, il faut boire beaucoup d'eau et favoriser les aliments alcalinisants:
-Commencer chaque repas par un verre d’eau: cela permet de boire environ un tiers de la dose journalière recommandée (entre 1,5 et 2 l). Une bonne hydratation draine les déchets qui, accumulés, favorisent l’inflammation.
Alterner eaux plates et pétillantes: certaines eaux gazeuses (Vichy Célestins, St-Yorre, Rozana…) sont riches en bicarbonates qui neutralisent l’acidité. A boire en dehors des repas et après un entraînement sportif.
Boire quelques gorgées toutes les 30mn
-Échanger les barres chocolatées contre des fruits: les sucreries acidifient, les fruits alcalinisent et sont riches en vitamines détoxifiantes.
-Mettre des légumes verts au menu: ils apportent de l’eau et de la vitamine C antioxydante et favorisent l’équilibre acido-basique au sein de l’organisme. Penser à les varier afin de bénéficier d’apports en micronutriments diversifiés
-Manger du poisson gras une fois par semaine (sardine, saumon, hareng…): leurs acides gras entrent dans la constitution des cellules des tendons, entretenant ainsi leur solidité et leur souplesse.
-Choisir et varier ses huiles végétales: colza, olive et noix pour assaisonner, pépins de raisin pour cuisiner. Une cuillère à café par jour suffit pour s’assurer de bons apports en acides gras essentiels. Eviter le beurre et la crème, acidifiants.
-Consommer moins de viande et de poisson: 120-130 g le midi et 60-80 g soit 1 œuf ou 1 tranche de jambon au dîner suffisent à couvrir les besoins journaliers en protéines, dont la dégradation entraîne la production d’acide urique.
-Bannir les compléments, les substituts de repas et les en-cas protéinés.
Quels sont les sports autorisés en cas de tendinite du psoas?
Aucun sport n’est possible pendant l'évolution de la tendinite.
En quoi consiste la kinésithérapie manuelle?
La kinésithérapie manuelle libère les tendons et le tissu conjonctif des adhérences qui se sont formées entre eux.
Elle doit être supervisée par un professionnel.
Elle consiste à pratiquer entre autres:
-Des massages doux de la zone douloureuse une à deux fois par jour avec une huile de massage.
-Des étirements adaptés à la tendinite.
-Du renforcement musculaire adapté.
-La méthode de Stanish (étirements passifs et renforcement musculaire excentrique) augmentant la résistance du tendon.
-Des drainages lymphatiques manuels.
-Des massages transverses profonds.
-Un changement et/ou une adaptation rapide de la posture ou du geste qui peuvent avoir déclenché ou entretenir la tendinite.
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